Maxime Tandonnet - Mon blog personnel
Hier M. le président s’est rendu dans un hôpital. Il a été apostrophé par deux aides-soignantes et il a fait mea culpa. Les médias télé-radios ont bondi sur l’information qui est devenue le scoop de la journée. Un petit coup médiatique de mea culpa pour couvrir deux décennies de lâchetés et de démissions. Et chaque jour un nouvel épisode du feuilleton de la médiocrité. Nous suivons pas à pas l’occupant de l’Elysée dans ses moindres gestes et paroles, le gourou de la nation qui se déplace, avec ou sans masque, sous le feu des caméras, suscite éblouissements de haine et d’amour mélangés, lâche des petites phrases explosives qui détournent les regards du champ de ruines. Quand ce n’est pas lui, c’est autre chose, un bon mot d’untel ou untel qui fait polémique, une anecdote, une annonce ou promesse en l’air, une trahison, une grimace nationale, et la France médiatique…
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