Le chef d’état-major de l’armée britannique dément les rumeurs sur les soucis de santé de Vladimir Poutine

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Dimanche 17 juillet, le chef d’état-major de l’armée britannique a affirmé que les rumeurs sur les soucis de santé de Vladimir Poutine étaient un « vœu pieux ». 

Par  valeursactuelles.com

Publié le 17 juillet 2022

Le président russe Vladimir Poutine. Photo © AP/SIPA

Le président russe Vladimir Poutine. Photo © AP/SIPA

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Il n’en croit rien. Dimanche 17 juillet, dans une interview télévisée accordée à la BBC, l’amiral Radakin, chef d’état-major de l’armée britannique, a affirmé ne pas croire aux rumeurs de mauvaise santé de Vladimir Poutine, rapporte Le Figaro. En effet, l’officier a expliqué avoir eu vent de rumeurs sur d’éventuels problèmes de santé qui affecteraient le président russe ou la possibilité qu’il puisse être assassiné. Le militaire a balayé ces hypothèses d’un revers de la main, les jugeant fantaisistes.

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« Vœux pieux »

« Je pense que certains commentaires sur le fait qu’il (Poutine) ne soit pas en bonne santé ou qu’il finisse par se faire assassiner, eh bien, je pense que ce sont des vœux pieux », a déclaré l’amiral Radakin. « En tant que professionnels militaires, nous voyons un régime relativement stable en Russie, le président Poutine a été en mesure d’étouffer toute opposition (…) et personne au sommet n’a la motivation de le défier », a-t-il expliqué.

Selon les estimations de l’armée britannique, la Russie « a perdu plus de 30 % de son efficacité au combat terrestre ». « Cela signifie que 50.000 soldats russes sont morts ou ont été blessés dans ce conflit, que près de 1.700 chars russes ont été détruits, que près de 4.000 véhicules blindés appartenant à la Russie ont été détruits », a affirmé l’officier.

En septembre, un nouveau Premier ministre remplacera Boris Johnson, démissionnaire. Pour l’amiral Radakin, « nous devrons rappeler au Premier ministre l’extraordinaire responsabilité qu’il a, avec le Royaume-Uni, en tant que puissance nucléaire. »

L’officier a conclu son entretien télévisé en revenant sur une affaire sensible : celle de l’accusation de crimes de guerre envers les SAS, les forces spéciales britanniques, accusées d’avoir tué 54 civils en Afghanistan. L’amiral a expliqué que la police militaire avait achevé son enquête par un non-lieu, mais qu’elle réexaminerait l’affaire si d’autres éléments apparaissaient.

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