Maxime Tandonnet - Mon blog personnel

Pendant que la classe politique et médiatique se contorsionne autour de « l’homophobie » supposée d’une ministre, ses propos sur « ces gens-là » et sur les déclarations débiles d’une misérable député d’extrême gauche concernant Pétain, la barbarie française a encore sévi, à l’aune de l’indifférence et de la banalisation. A Angers, au cœur du « jardin de la France », un réfugié soudanais de 32 ans a massacré au couteau trois jeunes gens venus de la France d’Outre-Mer pour jouer au rugby dont un mineur de 16 ans. Les médias parlent d’une « rixe » ce qui suppose une bagarre, donc une sorte de co-responsabilité. Selon les témoignages, les trois jeunes gens avaient pris la défense d’une jeune fille importunée sexuellement par le tueur. Qu’est-ce qu’un réfugié? Une personne persécutée dans son pays d’origine et non un potentiel barbare sanguinaire. Que faisait ce tueur à Angers? Ou est l’erreur? Ou est la faute? A ceux-là qui ferment…
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