Immigration : le poison lent de l’accord franco-algérien de 1968

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Une note de la Fondapol explique comment ce traité, qui régit l’entrée et le séjour des Algériens en France, bloque toute velléité de réforme.Par Charles Sapin et Géraldine Woessner


Tapis rouge. Emmanuel Macron et le president algerien, Abdelmadjid Tebboune, a Alger lors de la visite officielle du chef de l'Etat francais, le 25 aout 2022, soixante ans apres les accords d'Evian.
Tapis rouge. Emmanuel Macron et le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, à Alger lors de la visite officielle du chef de l’État français, le 25 août 2022, soixante ans après les accords d’Évian. 

Publié le 24/05/2023

Un révélateur d’irrésolution politique. À l’heure où l’exécutif remet sur l’établi, après des mois d’atermoiements, son projet de loi sur l’immigration et l’intégration, la Fondation pour l’innovation politique (Fondapol) publie une note corrosive, dont Le Point révèle en exclusivité les conclusions. Le think tank libéral dirigé par Dominique Reynié a chargé Xavier Driencourt, ambassadeur de Franceen Algérie pendant sept ans (sous les quinquennats de Nicolas Sarkozy et d’Emmanuel Macron), de lever le voile sur un pan méconnu du régime d’entrée et de séjour des étrangers en France : celui de l’accord franco-algérien de 1968.

Parmi les derniers actes signés par le président de Gaulle, ce traité visait à régler les conditions de circulation, de séjour et de travail des Algériens en France…

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