Les ambiguïtés de l’ONU

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Maxime Tandonnet - Mon blog personnel

« Le transfert de jihadistes français est extrêmement grave. Il a donné lieu à plusieurs violations du droit international », dénonce Agnès Callamard, rapporteure spéciale de l’ONU sur les exécutions extrajudiciaires, sommaires ou arbitraires, au quotidien. Avant d’envoyer ce courrier de six pages, elle explique s’être entretenue avec « sept des onze jihadistes français condamnés [à la peine de mort] par Badgad ». Elle précise que ces personnes « étaient détenues en Syrie, impliquées d’une façon ou d’une autre dans des actes de Daech, et ont été extradées en Irak où elles encourent la peine de mort grâce au soutien actif ou passif des autorités françaises ». 

L’ONU condamne la France pour son refus d’accorder une protection à des djihadistes ayant participé aux crimes de l’Etat islamique daesh de 2014 à 2017. C’est le monde à l’envers. La France devrait ainsi, selon l’ONU, venir au secours d’individus qui ont, de leurs propres mains ou comme complices, exterminé les populations de…

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